Joël Caralli est né à Toulon et a grandi à La Seyne-sur-Mer où il notamment travaillé aux destinées de l’U.S. Seynoise Rugby.
Ancien joueur lui-même, il a pour autant des appétences culturelles qui le placent assez loin des touches et des mêlées.
Passionné de littérature et de poésie, il écrit pour lui-même comme pour ses amis des textes puissants où se mêlent parfois à l’exotisme vibrant d’un Khalil Gibran, la fulgurance des mots simples de la poésie de Paul Géraldy.
Malgré la conscience que nos sociétés sont devenues bancales, il continue d’avancer d’un pas ferme sur le sentier des utopies.
Après Petites pensées et poèmes essentiels et sans importance, voici un deuxième recueil de poésies fraîches et revigorantes. Joël Caralli, admirateur sans faille des quatrains d’Omar Khayyâm, lui emprunte son ironie épicurienne et son humour courageux, avec un soupçon du romantisme fantasque d’un Italo Calvino et quelques fulgurances « barjavelliennes » quant à sa vision de l’avenir.
